Je ne suis pas dans cette optique où l'on ne doit absolument rien cacher à l'autre, tout lui dire, ne pas avoir de secret. Bien au contraire, il faut protéger sa personne/personnalité et ne pas oublier que l'on est "soi" avant d'être "nous"... Mais lorsque le soucis vient de l'autre partie, aucun tabou n'est permis. Pourquoi garder un truc du genre pour soi, ruminer, faire la tronche, être déçu(e) si le simple fait d'en parler peut non seulement nous éviter ces peines, mais aussi éviter que cela se reproduise.
Tous.des.connards.sauf.lui
Tous des connards, sauf lui !
Dimanche 28 août 2011 à 17:12
Je ne suis pas dans cette optique où l'on ne doit absolument rien cacher à l'autre, tout lui dire, ne pas avoir de secret. Bien au contraire, il faut protéger sa personne/personnalité et ne pas oublier que l'on est "soi" avant d'être "nous"... Mais lorsque le soucis vient de l'autre partie, aucun tabou n'est permis. Pourquoi garder un truc du genre pour soi, ruminer, faire la tronche, être déçu(e) si le simple fait d'en parler peut non seulement nous éviter ces peines, mais aussi éviter que cela se reproduise.
Mercredi 24 août 2011 à 10:40
CONNERIE.
Je pars du principe que toute rupture est difficile. Ce n'est jamais simple de supprimer de sa vie un être avec qui l'on partageait des tas de choses, allant du sentimental, au repas du dimanche.
Même si l'on ne se dit pas fous amoureux, même si cela faisait que très peu de temps qu'il ou elle était dans notre vie, son absence bouleverse forcément notre petite personne. Un petit truc qui nous fait penser à lui, des coutumes, des habitudes à supprimer, une chanson qui passe à la radio... On ne peut rayer de sa mémoire un homme ou une femme avec qui on a eu un minimum de complicité.
SAUF!
Combattre le mal par le mal. Battre le fer pendant qu'il est chaud. Remplacer les sentiments et les habitudes. Pourquoi se priver de revivre une histoire qui pourrait éventuellement marcher à cause d'une souffrance passée... C'est payé, balayé et jeté. La peur de resouffrir à nouveau ? Mais si personne ne voulait jamais souffrir, il faudrait devenir un robot ayant l'interdiction absolue de sortir de sa boîte.
On n'est jamais sûr de rien. Tout n'est qu'expérience dans la vie. Alors ouais, tu vas voir ce garçon une fois, deux fois, tout en te disant, nan nan ce ne sera que de l'amitié parce que je l'ai décidé. Mais pourquoi se priver... Si ça se trouve, tu passes à côté d'une histoire fabuleuse.
Je parle en connaissance de cause et 'Lui' est très bien placé pour le savoir... Combien de fois je l'ai appelé, en larmes, affirmant que je resterai seule pour toujours gna gna gna... Et puis, tel un bon vin, j'ai muri, je n'ai pas baissé les bras, je me suis fixée des objectifs et des activités personnels. Par la suite, la venue complètement soudaine et non maîtrisée (ce qu'il y a de mieux) d'un jeune homme a complètement changé mon état d'esprit.
Et je compte bien continuer à positiver dans ce sens si cela tourne mal. Alors certes, certains étaient plus que surpris de me voir avec quelqu'un d'autre seulement deux petites semaines après ma rupture... Je suis sûre que des gentils copains m'ont même crié "ouh la falope". N'empêche que le résultat est là. Je n'ai pas eu le temps de me morfondre et je vis sur un énorme nuage qui flotte doucement vers... On verra vers où. Et rien n'était prévu, car il ne faut jamais rien prévoir... Alors que demande le peuple.
Ne jamais perdre une seule occasion d'être heureux, même si ce n'est que quelques heures, quelques jours, quelques mois, ou quelques années. Surtout si l'on est jeunes... Dans la limite du raisonnable et sans jamais négliger sa santé (drogue, alcool, sida et compagnie) . Puisque tout n'est qu'expérience... Et que si l'on mourrait de chagrin d'amour, il n'y aurait plus personne sur Terre.
Samedi 20 août 2011 à 5:12
Mercredi 17 août 2011 à 19:09
Jeudi 14 juillet 2011 à 23:38
Article 1/3 - La confiance
Je ne pense pas être exigeante. Après tout qu’est ce que l’exigence ? On a tous des critères de choix plus ou moins assumés dès qu’il s’agit de rencontre amoureuse. Certains s’attardent sur le physique, ce qui a son importance pour l’attirance sexuelle, mais c’est là son seul intérêt à mon sens. Et puis, il y a les critères sociaux, la profession, la religion… Je vais plutôt m’attarder sur les critères humains.
Personnellement, à titre d’exemple, je ne conçois pas (plus) un couple avec un élément égocentrique. Pour moi, il est essentiel que « couple = partage ». De ce fait, si un élément est égocentrique, ne vous attendez surtout pas à ce que cela dure et fonctionne bien, sauf si vous aimez la soumission. Seulement, y’a comme un hic. Il est bien connu qu’au début de chaque histoire, tout est beau, rose, niais, sans nuage, blablabla. Et puis, les hommes révèlent leur vraie nature, parfois même sans s’en rendre compte. Et lorsqu’on leur fait remarquer une évolution péjorative, un laisser-aller au niveau des attentions, ce sont nous les chieuses qui nous inventons des problèmes, « mais non, j’ai toujours été comme ça »… « Bien sûr que tu l’as toujours été, mais tu ne me l’avais pas montré… Connard ! »
Alors quoi ? Le plus beau dans une nouvelle relation, ce sont les premiers jours… La découverte, l’envie de plaire, la séduction, cette forme de timidité et ce souhait de bien faire, les premières discussions… Là est toute l’essence. Pour la suite, il y a ceux qui ne veulent que du sexe, ceux qui veulent une relation sérieuse et ceux qui se disent on verra bien… Le problème, c’est qu’à force d’être déçu(e), même lorsqu’on rencontre une personne qui nous semble bien, on se méfie, on reste sur ses gardes et de ce fait, on ne lui offre pas le meilleur de nous même. Quel beau départ…
Et c’est là que je me demande comment les personnes mariées depuis des dizaines d’années peuvent encore se supporter… Je n’arrive en aucun cas à m’imaginer toute ma vie avec la même personne, et pourtant je ne sois adepte que d’histoires sérieuses et non nocturnes. Comment font-elles pour ne pas être lassées ? N’ont-elles pas fait le tour de chacun ? S’ennuient-elles ? Restent elles ensemble par habitude, par peur de la solitude, pour la famille ? Sont elles vraiment heureuses, là est ma question.
Merci à tous ces connards à qui j’ai donné beaucoup de moi-même, qui m’ont rendus heureuse un temps, pour mieux me piétiner telle une clope sur un trottoir, en tournant bien le pied histoire d’être sûre que je me sois bien éteinte.
Bonjour. J’ai 20 ans, je sais que j’ai la vie devant moi et pourtant le mot « confiance » sonne sourd à mon oreille.