Je ne conçois pas un couple sans Communication (Yahou le 3ème C de la règle des 3C). Comment deux êtres peuvent-ils s'entendre sans partager leurs sentiments, leurs peurs, leurs envies, enfin... tout quoi ! Cela passe aussi par le simple dialogue, c'est-à-dire raconter sa journée à l'autre, l'écouter, savoir ce qu'il a fait, et aussi avoir une oreille attentive à sa façon de la raconter.
Cela évite, avant tout, les malentendus et les disputes et j'en viens à pointer mon épée sur ce qui, à mon sens, n'est pas assez pratiqué chez les couples : dire à l'autre que ce qu'il a fait ou dit ne nous a pas plu.
Je ne suis pas dans cette optique où l'on ne doit absolument rien cacher à l'autre, tout lui dire, ne pas avoir de secret. Bien au contraire, il faut protéger sa personne/personnalité et ne pas oublier que l'on est "soi" avant d'être "nous"... Mais lorsque le soucis vient de l'autre partie, aucun tabou n'est permis. Pourquoi garder un truc du genre pour soi, ruminer, faire la tronche, être déçu(e) si le simple fait d'en parler peut non seulement nous éviter ces peines, mais aussi éviter que cela se reproduise.
Que l'être humain aime se compliquer la vie....
J'entends leurs histoires comme quoi leur dernier bonhomme l'a trompé - n'a pas manqué de lever la main, et comment la situation était instable, et comment il se barre après lui avait fait un gosse (...).
Je pars du principe que toute rupture est difficile. Ce n'est jamais simple de supprimer de sa vie un être avec qui l'on partageait des tas de choses, allant du sentimental, au repas du dimanche.
Combattre le mal par le mal. Battre le fer pendant qu'il est chaud. Remplacer les sentiments et les habitudes. Pourquoi se priver de revivre une histoire qui pourrait éventuellement marcher à cause d'une souffrance passée... C'est payé, balayé et jeté. La peur de resouffrir à nouveau ? Mais si personne ne voulait jamais souffrir, il faudrait devenir un robot ayant l'interdiction absolue de sortir de sa boîte. 
Je parle en connaissance de cause et 
Je me disais que s'il y avait confiance, il ne pouvait pas avoir de jalousie. Il m'aime, je l'aime, que peut-il bien arriver ? Eh bien si. En fait, la jalousie survient souvent par manque d'estime de soi et les filles sont fortes pour cela. Preuve à l'appui, la jalousie ne sera t-elle pas moindre si le jeune homme s'adresse à une personne de forte corpulence, mal coiffée ou autre (je n'aime pas ce genre de critères, mais ils sont très parlants pour beaucoup, je pense). Alors que les cris hystériques se feront largement entendre pour la blondasse à gros nibards (encore une fois caricatural). Avec une bonne estime de soi (bonne = pas excessive), ne devrions-nous pas dire (oh je m'inclus dedans), mais je suis jolie, je l'aime, s'il s'intéresse ne serait ce qu'un peu à cette fille superficielle, il est trop con, il ne sait pas ce qu'il va perdre, mais ce sera tant pis pour lui et donc je mérite mieux. Je vois d'ici les mâles huant "ouh ouh comment elle se la pète, elle se prend pour qui" Ahah encore encore j'adore ! Non, plus sérieusement, je n'ai pas du tout cette façon de penser, mais qu'est-ce-que j'aimerai !
Avant tout, je suis dans l'obligation d'affirmer que je suis amoureuse (amou quoi ? moi?), je crois, et que ma vision peut donc être quelque peu troublée par cette chose.