Toute à l'heure (pas maintenant mais lors du repas), je mangeais avec ma mère (genre le truc qui peut arriver à tout le monde).
Et on parlait de presque tout et de surtout le côté intrusif qu'on peut avoir selon les gens.
Ma gentille et innocente petite maman, me dévoile tout son état d'esprit concernant mon comportement non, mon caractère de connard,
d'hautain, d'élitiste que j'ai envers elle.
Ne fustigez pas ce qu'elle raconte, c'est en parti la vérité. Pourquoi ? je pourrais l'expliquer mais ceci n'étant pas le débat je continue.Elle tient la position que nous devons tous respecter les gens, s'ils ne veulent pas discuter, ne les forçons pas. Admettons (!?), mais le ic c'est de rester éternellement dans une position de mutisme envers certaines personnes ou beaucoup ? Elle dit de moi que je suis resté cloîtré dans un mutisme envers la famille (disons plus vers elle) et que dehors.. je suis la personne
la plus sociale, ceci ..ce là.
Pourquoi avoir alors ce comportement ?
Sans renvoyer à des études plus poussées envers notre Ancien nationale, je dirais que pour ma défense - avoir ce comportement de connard
envers elle est du a la sphère familiale bien sur et l'environnement, l'engagement associatif, les amitiés etc...
Suite a des problèmes de couple (côté parents), et de ne pas vouloir divorcer ou vouloir sauver les meubles (du couple). Suite à l'absence de dialogue envers ses propres enfants, un mutisme naît et des reproches naissent sans les avoir jamais traité.
Je tiens la position "intrusive" et pour m'expliquer. Je pense qu'il est nécessaire de rentrer dans la vie des gens que l'on rencontre.
A vour de voir midi à votre porte lorsque vous voulez y entrer. Par la fenêtre, ou avec les clefs, avec une hache (si la porte est bois) ou avec
une voiture bélier (si elle est au RDC). Mais quoi qu'il arrive, lorsque un problème ou un doute subsiste, je crois qu'il est nécessaire (un mal pour un bien) de rentrer dans le vif du sujet même si ça va faire mal et que ça fera peur.
Avoir le mérite d'avoir soulever le problème ? C'est une méthode intrusive qui brise le respect structurel pour imposer un respect conjoncturel
mais avec les dégâts collatéraux.
Alors on fait quoi ?
On reste sur ses positions et on attend le caractère spontané des gens ou alors on force la spontanéité à pointer à pole emploi ? Je ne conçois plus le "juste milieu" dans notre société où on ne montre pas l'exemple du haut vers le bas. J'ai pas assez d'argent pour
me droguer, ni assez pour prendre mon indépendance - cruelle ironie ! J'ai choisi d'écrire et de faire écrire les autres comme thérapie de groupe
Merci docteur.
Et on parlait de presque tout et de surtout le côté intrusif qu'on peut avoir selon les gens.
Ma gentille et innocente petite maman, me dévoile tout son état d'esprit concernant mon comportement non, mon caractère de connard,
d'hautain, d'élitiste que j'ai envers elle.
Ne fustigez pas ce qu'elle raconte, c'est en parti la vérité. Pourquoi ? je pourrais l'expliquer mais ceci n'étant pas le débat je continue.Elle tient la position que nous devons tous respecter les gens, s'ils ne veulent pas discuter, ne les forçons pas. Admettons (!?), mais le ic c'est de rester éternellement dans une position de mutisme envers certaines personnes ou beaucoup ? Elle dit de moi que je suis resté cloîtré dans un mutisme envers la famille (disons plus vers elle) et que dehors.. je suis la personne
la plus sociale, ceci ..ce là.
Pourquoi avoir alors ce comportement ?
Sans renvoyer à des études plus poussées envers notre Ancien nationale, je dirais que pour ma défense - avoir ce comportement de connard
envers elle est du a la sphère familiale bien sur et l'environnement, l'engagement associatif, les amitiés etc...
Suite a des problèmes de couple (côté parents), et de ne pas vouloir divorcer ou vouloir sauver les meubles (du couple). Suite à l'absence de dialogue envers ses propres enfants, un mutisme naît et des reproches naissent sans les avoir jamais traité.
Je tiens la position "intrusive" et pour m'expliquer. Je pense qu'il est nécessaire de rentrer dans la vie des gens que l'on rencontre.
A vour de voir midi à votre porte lorsque vous voulez y entrer. Par la fenêtre, ou avec les clefs, avec une hache (si la porte est bois) ou avec
une voiture bélier (si elle est au RDC). Mais quoi qu'il arrive, lorsque un problème ou un doute subsiste, je crois qu'il est nécessaire (un mal pour un bien) de rentrer dans le vif du sujet même si ça va faire mal et que ça fera peur.
Avoir le mérite d'avoir soulever le problème ? C'est une méthode intrusive qui brise le respect structurel pour imposer un respect conjoncturel
mais avec les dégâts collatéraux.
Alors on fait quoi ?
On reste sur ses positions et on attend le caractère spontané des gens ou alors on force la spontanéité à pointer à pole emploi ? Je ne conçois plus le "juste milieu" dans notre société où on ne montre pas l'exemple du haut vers le bas. J'ai pas assez d'argent pour
me droguer, ni assez pour prendre mon indépendance - cruelle ironie ! J'ai choisi d'écrire et de faire écrire les autres comme thérapie de groupe
Merci docteur.